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LGBTQIA+

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À la volonté de consulter un·e psychologue, s’ajoute parfois la crainte d’être jugé·e du fait de son identité de genre ou de son orientation sexuelle. Des témoignages font malheureusement état de certain·es professionnel·les de la santé mentale qui continuent de considérer l’homosexualité et/ou la transidentité comme des troubles.

L’homosexualité et la transidentité ne doivent plus être questionnés sous le prisme d’une pathologisation. Ce ne sont pas des maladies, ni des choix.

Il est nécessaire de reconnaitre la détresse psychique dans laquelle sont parfois les personnes LGBTQIA+, notamment du fait des discriminations qu’ils et elles subissent, mais aussi des questionnement intimes, profonds, auxquels ils et elles sont confronté·es.

L’acceptation de soi et de ce qui peut encore être considéré comme une différence, le coming out, les premières relations sexuelles et/ou amoureuses, l’homoparentalité, sont autant de moments intimes à traverser, qui peuvent nécessiter un accompagnement bienveillant.

Par ailleurs, chaque parcours de transition est unique, et est un mouvement singulier et complexe vers la reconnaissance de son identité. Souvent composé de transformations sociales, administratives, parfois corporelles, il s’agit d’un cheminement qui doit être respecté. Un suivi thérapeutique peut aider à renforcer ses repères lorsque l’on se sent bousculé·e, tant intérieurement que par son entourage.

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